Le distributeur de films argue de la fermeture imposée des salles pour refuser de lancer le préavis de résiliation de l’abonnement illimité, d’une durée de deux mois. Il prendrait effet à la réouverture des cinémas, avec deux mois de paiement gagnés pour UGC. Un argument peu justifiable mais que les abonnés peuvent difficilement contester en l’absence d’interlocuteurs. Récit d’une mésaventure.
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